Étude de cas : comment Bérengère est passée de la quête d’équilibre à ses premières grandes expositions Quand Bérengère est venue vers moi en 2023, elle portait déjà un riche parcours : des études artistiques, du théâtre, des voyages, de l’écriture, de la presse, des dessins publiés et exposés… Mais derrière cette densité, il y avait une question lancinante : comment rassembler toutes ces pièces de vie en un projet artistique clair, cohérent et légitime ? Elle voulait enfin se positionner pleinement en tant qu’artiste, avec un cadre professionnel solide, et ne plus se perdre entre ses casquettes multiples. C’est là que notre accompagnement a commencé. D’où elle partait (2023) Bérengère me raconte dès la première séance : son lien à l’eau, ses carnets inspirés de Delacroix, sa passion pour Dumas et Sand, sa carrière de modèle, son amour de la musique classique, ses voyages, ses écrits poétiques… Tout cela formait un univers d’une richesse incroyable. Mais il lui manquait : des outils concrets : portfolio, boutique en ligne, stratégie de prix… un sentiment de cohérence entre son écriture, ses dessins et ses photographies de la légitimité pour oser aller vers les galeristes et éditeurs Elle avait peur de « devoir tout recommencer » et de manquer de moyens financiers pour se lancer. Le travail accompli ensemble Pendant la formation et l’accompagnement, nous avons travaillé sur : Clarifier son identité artistique et l’articulation entre ses projets (écriture, photographie, carnets, art plastique). Structurer ses outils (portfolio professionnel, boutique en ligne, dossiers artistiques). Revoir son rapport à l’argent et ses stratégies de prix. Identifier des interlocuteurs cohérents avec son univers (galeristes, éditeurs, partenaires). Développer la confiance pour oser recontacter les bonnes personnes et présenter ses projets sous leur meilleure forme. Les résultats (2024) Quelques mois après la fin de la formation, Bérengère m’écrit : Première exposition confirmée pour décembre 2024 avec une galeriste parisienne. Collaboration avec Pascal Colrat pour une œuvre commandée par Paris Habitat. Préface acceptée par un écrivain reconnu, historien de l’art et de la photographie, pour son livre Drames Brefs. Elle conclut son message en me disant : « Je suis enchantée de toutes ces bonnes nouvelles et de la dynamique dans laquelle je me trouve, dynamique qui a été fortement appuyée par la formation avec toi et soutenue par les outils que tu m’as donnés. Merci encore ! » Et aujourd’hui (2025) Cet été, Bérengère m’a annoncé une nouvelle étape majeure :sa série photographique Géographie d’une attente, sur laquelle elle travaillait depuis vingt ans, sera exposée en 2026 dans la même galerie parisienne. Un projet longtemps refusé, patienté, retravaillé, qui trouve enfin sa juste place. Elle m’écrit : « Je suis très heureuse de voir ce travail poursuivi pendant une vingtaine d’années trouver enfin son lieu ! Je suis enchantée. Je te remercie encore pour tes conseils, ils continuent de porter leurs fruits. » Conclusion Ce que je retiens de Bérengère, c’est qu’un accompagnement ne se limite pas aux quelques mois que l’on passe ensemble. Quand les bons ajustements sont faits — dans les outils, la posture, la stratégie —, les fruits continuent de mûrir longtemps après. Et c’est ce qui me passionne : aider des artistes comme Bérengère à relier toutes les facettes de leur parcours, à poser un cadre clair, et à trouver la légitimité nécessaire pour que leur travail soit vu, reconnu et exposé. 👉 Si toi aussi tu veux franchir ce cap et donner une vraie dynamique à ta carrière artistique, je t’invite à réserver un rendez-vous découverte avec moi Réserve ton RDV découverte offert
Vivre de sa pratique artistique : les 5 erreurs à éviter (et comment les dépasser)
Vivre de sa pratique artistique : les 5 erreurs à éviter (et comment les dépasser) Vivre de son art en 2025, c’est possible — mais pas sans stratégie. Ce n’est ni simple, ni immédiat. Beaucoup d’artistes talentueux peinent à transformer leur pratique en activité durable, non pas parce qu’iels manquent de créativité, mais parce qu’ils tombent dans des pièges classiques. Sous-estimer sa valeur, négliger sa présence en ligne, attendre la perfection… Ces erreurs freinent leur élan, limitent leur rayonnement, et nourrissent parfois une forme d’auto-sabotage inconscient. Dans cet article, je décortique les 5 erreurs les plus fréquentes que je rencontre chez les artistes que j’accompagne. Et surtout, je te propose des pistes concrètes pour les dépasser, afin de structurer une activité artistique viable, alignée avec tes valeurs. Les erreurs à éviter pour vivre de son art 1. Sous-évaluer son travail (et donc, ses prix) C’est l’erreur n°1. Elle prend plusieurs formes :→ pratiquer des tarifs très bas “pour ne pas faire fuir”→ proposer des œuvres ou prestations gratuites “pour se faire connaître”→ avoir honte de parler d’argent, ou penser que l’argent dénature l’art Dans beaucoup de parcours artistiques, le rapport à l’argent est complexe. Il est souvent teinté de culpabilité, de peur de “se vendre”, voire d’une croyance (encore très répandue) selon laquelle un “vrai artiste” ne devrait pas chercher à gagner sa vie avec son art. Résultat ? Les artistes bradent leur temps, leurs compétences, leur sensibilité. Ils travaillent énormément pour des revenus dérisoires, avec un sentiment grandissant de frustration. Pourquoi c’est un problème ?Parce qu’en sous-évaluant ton travail, tu envoies un message implicite : “ce que je fais a peu de valeur”. Cela impacte non seulement tes finances, mais aussi ta posture, ton positionnement, ta crédibilité. Et à long terme, ça t’épuise. Comment dépasser cette erreur ? Reviens à la valeur réelle de ce que tu proposes : ton expertise, ton univers, ton expérience. Étudie les prix du marché dans ton secteur (enseignement, illustration, photo, spectacle, etc.). Calcule tes prix en intégrant ton temps de création, ta préparation, ton matériel, tes charges, et le salaire que tu veux te verser. Apprends à communiquer sur tes tarifs avec clarté et assurance, sans te justifier. 📌 Un bon prix est un prix juste : juste pour toi, et juste pour ton client. 2. Négliger sa présence en ligne Tu as peut-être une pratique artistique riche, une vision singulière, un univers fort…Mais si tu n’es pas visible, comment veux-tu qu’on te découvre, qu’on te suive, qu’on te recommande ? En 2025, être artiste, c’est aussi être visible sur le web. Cela ne veut pas dire devenir influenceur·euse, ni tout exposer de ta vie privée. Mais avoir une vitrine claire, vivante, cohérente avec ton univers est aujourd’hui indispensable. Et pourtant, beaucoup d’artistes repoussent ce moment. Par peur de se montrer, de “faire du marketing”, de ne pas savoir comment s’y prendre. Résultat : un site non à jour, un profil LinkedIn inactif, un compte Instagram à l’abandon. Pourquoi c’est un problème ? Tu passes à côté d’opportunités (bookings, collaborations, commandes, financements…) Tu donnes une image floue ou peu professionnelle Tu restes dépendant·e du bouche-à-oreille Comment renforcer ta visibilité digitale ? Choisis 1 ou 2 plateformes où tu te sens à l’aise (LinkedIn, Pinterest, YouTube…). Crée une présence cohérente (bio, visuels, ton, liens). Publie régulièrement des contenus qui montrent ta pratique, ton quotidien, tes valeurs, ton processus. Propose des contenus utiles ou inspirants à ton audience (conseils, coulisses, questions ouvertes…). 📌 Tu n’as pas besoin d’être partout. Tu as besoin d’être là où ton audience se trouve., et d’y être toi-même. 3. Attendre que tout soit parfait avant d’agir Tu connais ce scénario ?Tu veux lancer un projet artistique (nouvelle offre de prestation, de performance, de spectacle, portes ouvertes d’atelier, stage, atelier…), mais tu n’es pas sûr·e de ton message, de ton positionnement, de ton site, de tes visuels…Alors tu repousses. Tu attends d’avoir “tout bien calé”. Et parfois, tu n’agis pas. Ce syndrome de la perfection touche particulièrement les artistes. On veut que chaque détail ait du sens, soit à la hauteur. Mais cette exigence devient paralysante quand elle nous empêche de passer à l’action. Pourquoi c’est un problème ? Tu restes bloqué·e dans la préparation au lieu d’avancer Tu ne confrontes pas ton idée à la réalité. Tu fantasmes (positivement ou négativement) ce qu’il pourrait se passer Tu manques des occasions d’apprendre et d’ajuster, d’évoluer Comment avancer malgré les doutes ? Remplace la perfection par l’expérimentation : lance une version “bêta”, teste une micro-offre, expose une première série, publie un extrait sur tes réseaux sociaux… Donne-toi des délais réalistes mais engageants pour sortir un projet (objectif SMART). Accepte que tout évolue. Ce que tu proposes aujourd’hui n’est pas figé, il évoluera avec toi. Entoure-toi de regards bienveillants et structurants (coach, pairs, mentors). 📌 La clarté ne vient pas avant l’action, elle vient grâce à l’action. 4. Ignorer l’aspect commercial Tu aimes créer, transmettre, émouvoir, mais vendre te fait horreur ?Tu n’es pas seul·e.“Je ne suis pas fait·e pour ça”, “je ne veux pas forcer les gens”, “je n’y connais rien”Beaucoup d’artistes associent le mot “vente” à du capitalisme, de la manipulation ou à une perte d’authenticité. Pourtant, vendre c’est proposer de la valeur à quelqu’un qui en a besoin et envie. C’est permettre à ton travail de rencontrer un public, un acheteur, un commanditaire. C’est rendre ton activité viable. Tu n’as pas besoin de devenir commercial·e. Tu as besoin de savoir présenter ce que tu fais de manière claire, alignée et accessible. Pourquoi c’est un problème de négliger ça ? Tu te retrouves dépendant·e d’opportunités aléatoires Tu t’épuises à produire sans retour concret Tu te sens invisible ou peu légitime Comment intégrer la dimension commerciale avec intégrité ? Définis ton offre : à qui s’adresse-t-elle ? À quel(s) besoin(s) répond-t-elle ? Quel problème résout-elle ? Quelle transformation propose-t-elle ? Apprends à pitcher ton travail en quelques phrases claires et engageantes. Structure un parcours
Vivre de son art sans s’épuiser : 7 clés essentielles
Comment vivre de son art sans s’épuiser (ni se trahir) ? Vivre de son art, c’est un rêve pour beaucoup d’artistes visuel·le·s, plasticien·ne·s ou créatif·ve·s indépendant·e·s. Mais entre les doutes, la précarité et les injonctions à “se vendre”, ce rêve peut vite devenir source de stress ou d’épuisement.Heureusement, il est possible de vivre de son art sans renier qui tu es — en respectant ton rythme, ton énergie, et tes valeurs profondes. 1. Respecter son énergie pour vivre de son art durablement Ton énergie est ton premier outil de création. Si tu la brûles en tentant de tout faire, tout le temps, tu risques de perdre ce qui fait ta force : ta sensibilité, ton regard, ton feu créatif. Pose-toi cette question simple :Quels sont mes moments d’élan naturel, et ceux où j’ai besoin de ralentir ?Respecter ton propre rythme, c’est déjà un acte de résistance dans un monde qui pousse à produire vite et fort. 2. En finir avec le mythe de l’artiste sacrifié·e On t’a peut-être fait croire qu’un·e « vrai·e artiste » devait souffrir pour créer, vivre dans la précarité, ou ne penser qu’à son œuvre. C’est faux.Tu peux être profondément engagé·e dans ta pratique et vouloir une stabilité financière.Tu peux faire de l’art puissant sans t’épuiser ni t’oublier. L’art n’a pas besoin de souffrance pour exister. Il a besoin de sincérité, d’espace et de constance. 3. Vivre de son art en fixant des limites claires Pour ne pas te trahir, commence par nommer ce que tu refuses.👉 Vendre à tout prix ?👉 Travailler avec des marques qui ne respectent pas ton univers ?👉 T’obliger à créer sur commande alors que ça t’assèche ? Ce “non” clair est un espace précieux. Il te permet de dire “oui” pleinement à ce qui te correspond. 4. Choisir des revenus artistiques alignés avec ton identité Tu peux monétiser ton art de mille façons… mais toutes ne sont pas faites pour toi.L’important, c’est de trouver le modèle qui respecte ton énergie, ton message et ton public. Quelques exemples : Vente directe de tes œuvres Ateliers, stages ou formations artistiques Commandes personnalisées choisies Collaborations avec des structures locales Mise à disposition de ton art dans l’espace public Il n’y a pas une seule bonne voie. Il y a la tienne. 5. Se protéger de l’épuisement pour continuer à vivre de son art Créer sous pression constante, enchaîner les projets sans pause, te comparer aux autres : voilà des recettes parfaites pour l’épuisement. 🧘♀️ Autorise-toi des moments sans production.💡 Nourris-toi d’inspiration, de silence, de rencontres.📅 Planifie aussi des temps off dans ton agenda créatif. Créer, c’est aussi savoir se régénérer. 6. S’entourer pour construire une activité artistique viable Tu n’as pas à porter ton projet seul·e.Entoure-toi de personnes qui comprennent ton parcours : d’autres artistes, des mentor·es, des pros du secteur culturel… ou un groupe comme mes Apéros Artistes ou rejoins mon accompagnement pour artistes visuel·le·s pour avancer à ton rythme. Un entourage bienveillant, c’est plus qu’un luxe.C’est un système de survie quand tu doutes, que tu bloques ou que tu t’éparpilles. 7. Expérimenter librement pour vivre de son art à sa manière Vivre de son art, c’est un chemin. Pas une ligne droite.Tu vas tester, te planter, recommencer autrement. Ce n’est pas un échec : c’est de l’ajustement. Ce qui compte, ce n’est pas d’avoir tout compris tout de suite.C’est de rester connecté·e à ton cap intérieur, et de construire un modèle professionnel qui te ressemble, pas un copier-coller. Tu n’as pas à choisir entre passion et stabilité Tu peux créer un équilibre entre ton besoin de liberté et ton besoin de sécurité.Entre ton monde intérieur et le monde réel. Et si tu veux t’entourer pour construire cet équilibre, je suis là. Besoin d’un accompagnement personnalisé ? Tu es artiste visuel·le ou plasticien·ne, et tu veux construire une activité artistique qui respecte ton rythme, ton énergie et ton identité ?Je propose un accompagnement sur-mesure pour t’aider à structurer ton projet, développer ta visibilité et vivre de ton art en restant aligné·e. 👉 Découvrir l’accompagnement pour artistes visuel·le·s et plasticien·ne·s
Comment se faire financer une formation quand on est artiste ?
Financement de formation pour artiste (ou futur accompagnateur) : comment bénéficier de l’AFDAS, du CPF et d’autres aides Tu es artiste-auteur·ice ou futur·e accompagnateur·ice d’artistes, et tu aimerais te former pour structurer ton activité, mieux vivre de ton art ou accompagner d’autres créateur·ices ? Bonne nouvelle : il existe plusieurs solutions de financement de formation pour artistes. Dans cet article, je t’explique comment t’y retrouver, que tu sois déjà installé·e ou en transition, et quelles démarches entreprendre pour faire financer ta formation grâce à l’AFDAS, au CPF ou à d’autres dispositifs. Pourquoi suivre une formation quand tu es artiste (ou que tu accompagnes des artistes) ? En tant qu’artiste, tu dois porter mille casquettes : créer, vendre, communiquer, organiser ton travail… sans forcément avoir été formé·e à tout cela. Quant à toi, si tu veux accompagner les artistes, tu as tout intérêt à te former à leurs spécificités : posture d’écoute, stratégie artistique, cadre juridique, financement de projets… Se former, c’est te donner les moyens : de structurer ton projet artistique ou ton offre d’accompagnement ; d’acquérir des compétences durables ; de gagner en clarté, autonomie et légitimité. Tu es artiste-auteur·ice ? Le financement AFDAS est fait pour toi L’AFDAS est l’OPCO (opérateur de compétences) des artistes-auteur·ices. Si tu es affilié·e à l’URSSAF, tu peux demander un financement de formation pour artiste adapté à ton métier. Conditions d’éligibilité (à vérifier selon ton activité sur afdas.com) : Être à jour de ses cotisations sociales ; Justifier d’un certain seuil de revenus artistiques (variable selon les années). 👉 L’AFDAS peut financer : des formations en communication, organisation, stratégie artistique ; des accompagnements individuels ou collectifs (comme ceux que je propose 🙂). 📝 Il faut constituer un dossier (programme, devis, attestation URSSAF…). Si tu veux de l’aide, je peux t’accompagner dans ces démarches. Tu as travaillé comme salarié·e ? Utilise ton CPF Le Compte Personnel de Formation (CPF) est une solution précieuse si tu as déjà été salarié·e. Même quelques heures de travail peuvent t’avoir ouvert des droits. Tu peux l’utiliser pour : financer un bilan de compétences (idéal si tu veux clarifier ton projet artistique ou de reconversion) ; suivre une formation certifiante pour vivre de ton art ou accompagner d’autres artistes. 👉 Consulte ton solde CPF ici : moncompteformation.gouv.fr Tu n’as ni AFDAS ni CPF ? D’autres solutions existent Même sans ces dispositifs, tu peux envisager : des paiements échelonnés sur plusieurs mois ; des aides régionales ou départementales à la formation professionnelle ; des financements via Pôle Emploi (AIF, POEI…), si tu es demandeur·euse d’emploi. Mes accompagnements sont éligibles à ces dispositifs Que tu sois : un·e artiste visuel·le, musicien·ne, auteur·e… en quête de structure, de légitimité ou d’élan collectif ; ou un·e futur·e accompagnateur·ice de créateur·ices, souhaitant se former à l’accompagnement des artistes avec une approche respectueuse, sensible et ancrée dans la réalité du terrain … je propose des accompagnements sur-mesure, avec des programmes clairs, structurés, et éligibles à l’AFDAS ou au CPF selon les cas. ➡️ Clique sur « Vous êtes artiste/créateur.rice » dans le menu de mon site pour découvrir tous mes accompagnements pour artistes ➡️ Clique sur « Vous accompagnez les artistes » dans le menu de mon site pour découvrir l’accompagnement dédié
Création de site internet pour artistes avec Ombeline | Observatoires
Ombeline de Double W Studio accompagne les artistes et créateurs dans la création de sites vitrines et e-commerce. Découvre ses conseils dans cette interview.
Observatoires x Emily Gonneau | Comment réussir sa sortie de Meta ?
Emily partage une expertise précieuse à l’intersection de l’art et du digital et aide artistes et labels à se développer de manière éthique et durable avec de l’analyse data et des stratégies Direct-to-Fan sur mesure.